Fin octobre, le diocèse de Paris avait insisté sur le principe de « gratuité du droit d’entrée dans les églises et les cathédrales », défendu par l’Église catholique en France, alors que la cathédrale …
Auteur/autrice : Gilberte MBELE
Fin octobre, le diocèse de Paris avait insisté sur le principe de « gratuité du droit d’entrée dans les églises et les cathédrales », défendu par l’Église catholique en France, alors que la cathédrale …
Pas question cependant de donner le feu vert à n’importe quel événement. « La fabrique d’église prend la décision finale »insiste Pierre Dufour, président de l’association Sainte-Waudru. « C’est un équilibre difficile à trouver et à maintenir. La fabrique souhaite évidemment que la collégiale reste avant tout un lieu de culte, mais reste consciencieuse que les Montois souhaitent également y entrer en dehors du cadre religieux. D’autant que l’autorité publique intervient dans son entretien via des montants importants. » Par extension, via leurs taxes, tous les Montois financent son entretien.
Pour autant, ne pas réserver la collégiale uniquement aux Chrétiens qui célèbrent les fêtes religieuses et assistent aux offices n’est pas choisi aisée. « Les manifestations qui y sont organisées ne doivent pas perturber l’exercice du culte. Et tout le monde n’est pas toujours unanime sur les décisions qui sont prises. Certains fidèles estiment que des événements non religieux n’y ont pas leur place ou que ceux-ci sont dérangeants dans le quotidien de l’édifice. Pour le spectacle Le Cadeau, de nombreux projecteurs et haut-parleurs ont par exemple été installés et laissés pendant près de trois semaines.
Quatre ans après des travaux « peu conventionnels » à la Collégiale Sainte-Waudru, les réparations à entreprendre se précisent : « on avance lentement »
« Si l’on prend cet exemple en particulier, certains croyants ont trouvé qu’il était déplacé de l’organisateur en pleine période de Noël. Mais du côté de la fabrique, nous avons estimé que les organisateurs avaient respecté les lieux et veillé à ce que nos activités soient le moins dérangées possibles. Lorsque l’on rend une décision favorable, nous communiquons aux organisateurs une série de critères à respecter, une série de choses qu’ils peuvent faire ou non.
La difficulté réside alors, bien souvent, à évaluer le respect des consignes formulées. « Nous ne disposons pas toujours d’une description précise de ce qu’il s’y passera, ce qui donne parfois lieu à quelques surprises qui nécessitent un arbitrage lorsque nous découvrons réellement l’événement. Nous sommes parfois contraints au compromis et acceptons des choses que l’on n’aurait préféré ne pas voir et que l’on n’aurait pas forcément toléré en amont. » Cela reste, heureusement, assez exceptionnel.
Sur une année, ce sont quelques dizaines de demandes qui sont transmises à la fabrique d’église. À côté des demandes officielles, il existe aussi de nombreuses demandes de renseignements sur les conditions imposées… Qui ne vont pas plus loin. N’investis pas la collégiale qui veut ! Mais ceux qui ont obtenu le feu vert ont en général la satisfaction d’offrir aux visiteurs et spectateurs un moment suspendu au cœur de l’un des plus beaux monuments montois.
Des osssements correspondant à trois corps ont été découverts sous le chœur de l’église des Mujouls, en région Paca.
Découverte surprenante dans l’église des Mujouls, dans les Alpes Maritimes. Au moment de la restauration du dallage du chœur de l’édifice, des osssements appartenant à trois squelettes ont été retrouvés dans une cavité souterraine, rapport Nice-matin.
Un piège a été installé
« On ignorerait la présence de ces corps »a confié au quotidien régional le maire des Mujouls, Gérard Bouchard, qui a précisé que l’époque à laquelle ils avaient été inhumés était inconnue. Contactée, la Direction régionale des affaires culturelles a autorisé la poursuite des travaux dans l’église étant donné qu’aucune étude ne sera menée sur les squelettes.
En revanche, le maire a décidé de faire installer un piège afin de pouvoir accéder à la crypte ainsi que d’entamer des recherches sur l’origine de ces osssements. « La consultation des archives départementales et les comptes rendus des visites pastorales nous éclaireront peut-être sur le sujet ».
Le maire de Coatréven, commune située près de Lannion (Côtes-d’Armor), Yves Le Rolland et Raymond Artur, président de l’association Les Amis de l’église Saint-Pierre, ont accueilli Barbara Wattebled, déléguée du territoire pour la Fondation du patrimoine, vendredi 6 décembre 2024, afin de signer la deuxième convention pour un nouvel appel aux dons.
Une partie de la toiture détruite en 2013
Le maire a rappelé l’historique des travaux de remise en état de l’église, qui, en 2013, a été en partie détruite par un gros coup de vent, avec une grande partie de la toiture anéantie, les portes et vitraux soufflés, et une grande partie du mobilier dégradé par les dégâts des eaux.
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Des travaux ont été engagés à partir de 2017. À présent, il est nécessaire de les poursuivre au niveau de la tribune, de la niche de la sacristie et du clocher, qui a besoin d’une meilleure étanchéité. Les joints de la façade doivent être refaits, ainsi que le mur de l’enclos en partie effondré.
Le montant des travaux, qui devrait débuter en 2025, est évalué à 500 000 €, afin que l’église Saint-Pierre, inscrite au titre des Monuments historiques, retrouve tout son éclat.
« Les dons pour la restauration du patrimoine religieux dans les petites communes bénéficient d’une réduction d’impôts à hauteur de 66 % du don »et la participation de la fondation du patrimoine est fixée en fonction du montant total des dons.
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Rédaction Dieppe
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Tout a commencé par un diagnostic de l’état de l’église de Blossevilleprès de Veules-les-Roses (Seine-Maritime), et un plan de financement réalisé en 2019 par le maire Pascal Vanier et son équipe lors de son mandat précédent. « Nous avions prévu de réaliser les travaux à hauteur de 500 000€ par mandat mais rien ne s’est passé comme prévu », raconte-t-il.
Des péripéties
Le chantier démarre, et c’est l’arrivée du Covid ! Le chantier est suspendu pendant un an. Deuxième coup de théâtre : une des entreprises retenues par l’appel d’offres fait faillite. « Ajoutez à cela, le manque de personnel dans les entreprises du bâtiment », poursuit le maire.
Après quelques mois, le chantier redémarre normalement mais nouveau coup dur : une partie de la voûte du chœur s’écroule. Un nouveau chiffrage des travaux doit être fait. Le surcoût est de plus de 200 000 euros.
« En partenariat avec la Dracla direction régionale des affaires culturelles, nous avons décidé d’alléger le programme de la première tranche : la restauration du clocher ne se fera pas car nous avons constaté qu’il était en assez bon état », précise Pascal Vanier.
Repos des vitraux
Après toutes ces péripéties, les travaux ont repris leur cours normal : la partie charpente et la maçonnerie extérieure ont pu être restaurées en 2023-2024. « Quant aux vitraux, eux aussi restaurés, ils vont être reposés à partir du 9 décembre 2024se félicite le maire de Blosseville. Ces vitraux du 16e siècle sont d’une facture exceptionnelle et vont bénéficier d’une protection vitrée à l’intérieur de l’église et d’un grillage à l’extérieur. Cette opération sera terminée avant la fin de l’année. Quant aux travaux de maçonnerie, ils devraient être achevés au printemps 2025 ».
« Il était grand temps que les travaux se terminent car nous sommes arrivés dans les limites des arrêtés de subvention », confie Pascal Vanier, soulagé.
Une collecte en ligne
Durant cette phase de travaux mouvementés, la commune de Blosseville a pu compter sur la Drac, le Département et l’État sans oublier la communauté de communes Côte d’Albâtre.
L’association Blosseville Histoire vivante a été choisi par la municipalité pour animer une souscription auprès du public lancée via la Fondation du patrimoine.
« L’association a été très active en organisant des visites guidées et en éditant un livre sur l’église tandis que le comité des fêtes a proposé de nombreuses animations qui ont permis de recueillir des dons », précise Laurent Liotprésident de Blosseville Histoire vivante.
De nombreux donateurs de Blosseville ou d’ailleurs ont participé à cette collecte. À noter que l’objectif fixé est 50 000 euros et que la collecte se poursuit. Les dons sont déductibles des impôts à hauteur de 75 %.
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Quelle a été votre formation ?
J’ai été diplômé d’un Mastère Direction Artistique en Design Graphique à Condé de Marseille en 2005. Pendant mon Bachelor, j’ai effectué un stage de deux mois chez Infostratespuis j’ai poursuivi en alternance lors de mon Mastère. Après l’obtention de mon diplôme, Infostrates m’a proposé un poste de graphiste.
Quelles sont les missions de l’agence ?
Infostrates est une agence numérique fondée en 1998. Elle accompagne ses clients internationaux à la fois sur les plans tactiques et techniques, allant du conseil stratégique et créatif à la production. Les collaborateurs d’Infostrates mettent toute leur énergie pour créer dans tous les domaines du numérique : stratégies de marques, création de contenus originaux, développement de plateformes. L’agence adopte une approche globalefondée sur des solutions entièrement personnalisées, utilisables et utilisées.
Vous êtes entré en 2004 chez Infostrates en tant que Graphiste et vous avez exercé ce métier pendant 6 ans. Pourriez-vous nous parler de vos débuts dans cette entreprise ?
J’ai toujours eu une appétence pour le numérique, ressentant que c’était un secteur d’avenir, en pleine évolution. J’ai beaucoup informé sur le terrain. Mon expérience en tant que stagiaire puis alternant chez Infostrates m’a donné envie de continuer dans ce domaine. Je trouve les sujets très intéressants et innovants. J’aime aussi la création d’identité, le travail autour de la marque et du branding.
Quand je suis arrivé dans l’entreprise, nous étions une douzaine de collaborateurs. J’ai apprécié le fait que l’agence soit à taille humainepresque familiale, avec une proximité avec la direction. J’ai pu évolution dans un climat de confianceet on m’a rapidement confié des responsabilités.
En 2017, vous avez évolué au poste de Directeur de Création. Pourriez-vous nous parler de vos missions actuelles ?
Aujourd’hui, je gère une équipe de cinq créatifs. Nous travaillons sur une grande variété de clients et de secteurs, ce qui est très enrichissant. Cette diversité nous expose à des codes différents selon les secteurs, ce qui est une véritable richesse. Mes missions sont axées sur l’innovation produit, la transformation digitale, les projets de branding et de marque.
Nous travaillons également sur des Preuve de concept (POC), c’est-à-dire que nous expérimentons pour tester une ou plusieurs solutions et prouver leur pertinence. Cela apparaît à la recherche et au développement (R&D). Nous adoptons une approche agile avec nos clients, souvent en cocréation. Nous organisons des ateliers créatifs et aspirationnels avec eux, ce qui nous permet de mieux comprendre leur personnalité et leurs attentes. C’est un esprit collaboratif.
J’aime accompagner mon équipe, en partageant mes connaissances et en enseignant ce que je peux. Cet aspect de mon rôle de Directeur de Création me plaît particulièrement.
Qu’est-ce qui vous a séduit chez Infostrates pour choisir d’y travailler depuis près de 20 ans et qu’est-ce qui vous plait dans le fait de travailler en agence ?
L’agence a grandi et évoluée, comptant désormais 60 salariés. Ce qui m’a séduit chez Infostrates, c’est la liberté et l’autonomie qui m’ont été offertes et que je transmets maintenant à mon équipe. L’important est d’avoir l’esprit d’initiative, d’oser créer et d’aller de l’avant. Bien sûr, le client nous impose un cadre, mais cela ne nous empêche pas de proposer de nombreuses idées créatives.
J’apprécie également l’aspect relationnel avec mon équipe. J’aime échanger avec eux, les guider, et je suis fasciné par la stratégie. La notion de cocréation me plaît beaucoup. Nous faisons maintenant partie du Groupe Norsysun acteur majeur de la transformation numérique, ce qui ajoute une dimension supplémentaire à notre travail.
Quelles compétences acquises à Condé vous semblent les plus utiles dans votre profession ?
Ce que j’ai particulièrement apprécié à Condé, c’est que nos professeurs étaient des professionnels en activité. Nous avions également des sujets donnés par des intervenants qui animaient des ateliers d’une semaine. Ces ateliers nous offriraient une véritable immersion dans le monde du travailcar nous travaillonslions individuellement ou en groupe sur des cas concretsce qui nous aidait à nous projeter dans notre future carrière.
Ce travail en groupe nous a permis de développer des compétences essentielles pour le travail en équipecruciales en agence. Nous apprenions à identifier et à exploiter les forces de chacun. J’y ai aussi appris à écouter, à communiquer et à transmettre mes idées efficacement. Les professeurs nous expliquaient la vie en agence, ce qui était très inspirant et motivant.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants de Condé qui aspirent à travailler en agence ?
Il est essentiel de faire preuve de rigueur dans son travail. Une écoute active est nécessaire pour bien comprendre les besoins des clients sans perdre sa créativité, car c’est un métier de passion. La discipline, la passion et une bonne communication me semblent indispensables.
Il est important de donner du sens à son travailnotamment en intégrant des pratiques comme l’éco-conception. C’est un domaine en constante évolution, comme le démontre l’essor de l’IA. Il faut être capable de s’adapter et d’avoir l’envie de le faire. Rester à l’écoute des tendances et être curieux. Ne pas se reposer sur ses acquis.
Il est important de cultiver une solide culture générale et d’observer ce qui se fait autour de soi, car tout peut être source d’inspiration. Faire de la veille constante c’est essentiel !
Un grand MERCI Arnaud pour ce témoignage inspirant !
Faudra-t-il bientôt payer pour visiter une église en France ? La proposition de la ministre de la Culture Rachida Dati d’installer une billetterie sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris pour financer « un plan national de sauvegarde du patrimoine religieux » fait polémique.
L’état du patrimoine religieux en France s’avère de plus en plus préoccupant. S’y intéresse de près fait d’ailleurs l’unanimité. Selon l’Observatoire de ces trésors d’architecture, sur les 50 000 édifices religieux recensés dans l’Hexagone, 5 000 menaceraient de s’effondrer alors que 500 sont déjà fermés au public. Et, en sauver ne serait-ce que 1604, évalué la Fondation du patrimoine, coûterait 763 millions d’euros. Pour autant, rendre l’accès payant à certains de ces monuments, comme éventuellement Notre-Dame de Paris, inaugurée le 7 décembre prochain, fait sourire bien des dents. Même si la manne pourrait rapporter dans les 75 millions d’euros.
L’opposition du diocèse
De quoi faire souffler les communes en charge d’églises souvent rurales, abandonnées ou nécessitant des réfections à des tarifs exorbitants ? Les municipalités voyant leur dotation d’État se restreindre comme peau de chagrin, elles ne peuvent seules assumer ces chantiers sur leurs propres deniers. Certaines déploient un système D à l’instar de Prats-de-Mollo où les cloches d’une chapelle pourraient être carrément retirées pour alléger la structure. D’autres compétents sur les dons recueillis par la Fondation du patrimoine, celle de sauvegarde de l’Art français, les cagnottes participatives et le mécénat. Dans l’Aude, Eric Menassi, édile de Trèbes et président départemental de l’Association des maires de France n’en a pas encore discuté avec des collègues. Dans ses 433 communes, « presque 100 % des églises ont besoin d’être retapées. Si elles sont classées au patrimoine, le pourcentage d’aides de l’État sera plus élevé », assure-t-il, pensant que le projet de Rachida Dati est « peut-être une piste à explorer ».
Son homologue des Pyrénées-Orientales et maire de Sainte-Marie la Mer, Edmond Jorda, n’a pas été joignable pour réagir à l’idée, récemment lancée par la ministre de la Culture Rachida Dati. Elle se heurte cependant à une loi. Celle de 1905 dite de « séparation des Églises et de l’État ». Elle attribue la propriété des bâtisses religieuses aux communes, « qui doivent les mettre à disposition des fidèles pour le culte et assurer leurs entretien et rénovation ». Un peu plus loin, le texte écarte toute interprétation. « La visite des édifices et l’exposition des objets mobiliers classés seront publiques, elles ne pourront donner lieu à aucune taxe ni redevance. »
Certes, en Europe, la Sagrada Familia de Barcelone comme la Basilique Saint Marc de Venise ne se visite pas gracieusement… La France serait-elle prête à franchir le pas ? Le diocèse de Paris s’y oppose, rappelant le principe de « gratuité du droit d’entrée dans les églises et les cathédrales », notamment justifié par la mission ecclésiastique « d’accueillir tout homme et toute femme. »
La réhabilitation extérieure de l’église
Saint-Ilpize. Inauguration pour la réhabilitation extérieure de l’église. Samedi dernier, Martine Defay, maire de Saint-Ilpize, avait convié différentes personnalités afin d’inaugurer les travaux extérieurs réalisés sur l’église Sainte-Madeleine, édifice du XIV e
siècle. Classée au titre des monuments historiques en 1920, et même en l’absence de problème structurel majeur, l’église qui avait été fermée par arrêté municipal en décembre 2016, présentait un besoin urgent d’une restauration intervenue à temps, pour sauver – du moins, pour assurer – la pérennité de ce bâtiment.
Plus de 20.000 tuiles ont été posées
Tombées dans le domaine public depuis 1905, placées sous la responsabilité des communes, les églises sont devenues un véritable casse-tête pour les petits villages qui ont à cœur la sauvegarde de leur patrimoine religieux.
C’est pourquoi Martine Defay a tenu à exprimer l’entière reconnaissance que sa commune s’adressait aux multiples partenaires qui ont permis la réalisation des travaux pour un montant de plus de 546.000 €. C’est en effet un projet financé à plus de 95 % par la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), la Région, le Département et la Fondation du patrimoine – mission Berne, qui a permis une admirable restauration extérieure du bâtiment, concrétisée par le remplacement intégral de la couverture avec la pose de 20.000 tuiles, la rénovation de la charpente, de la façade et des éléments sculptés, la résolution des urgences sanitaires face aux problèmes d’infiltration et d’humidité, etc. Autant de supports soutenant la preuve que l’union fait toujours la force pour valoriser un patrimoine !
La protection des chauves-souris
Si le retard de quelques mois pour la finition de ce chantier a été imputable à l’apparition de problèmes dus au remplacement imprévu de trois fermes de charpente, c’est aussi le respect de la protection des chauves-souris, pendant leur période de reproduction , qui en a été la cause, mais sans rancune pour ces demoiselles protégées à juste titre et pour lesquelles ont été sauvegardées leurs possibilités d’entrées et de sorties dans ce « gîte rénové ».
Emmanuel Fèvre sous-préfet, Jean-Luc Vachelard conseiller régional référent, Annie Ricoux vice-présidente du Conseil départemental, Anaïs Roussange collaboratrice du député, Jean-Claude Abrial Fondation du patrimoine, Audrey Capparos architecte du patrimoine.