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Rémission le paie d’Auge
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L’Anine 2025 Sera un annee IMMÉDÉE DANS LA SAUVEGARDE DE L’ÉGLILISE DE SAINT-AUBIN-SUR-ALGOT, ANCIENNE COMMUNE RATTACHÉE À CAMBREMER (CALVADOS). APRÈS Plus de 20 Ans de restauration, un de Dernière séra de sérum. C’ester L’Entreprise Ducloux, Maçonnerie et Tailleur de Pierres, Qui en est Chargee. Les Travaux, Qui Commencé Début Février, Devraient Durer Environ un Peu plus de Deunt Mois.
«Il faut mettre à nu toutes les surfaces, enlever la pellicule de ciment existant, netoyer Les Pierres au Karcher, les décaper, piqueter joint chaque à la main, recouvrir le tout de unduit traditionnel de sable et de-de-the La Pierre. Il faut Avoir le Coup de Patte », Expliquez David, L’Un des Deuts Artisans Tailleurs de Pierres Compagnons du Devoir Qui Travailnt sur le Chantier.
Des Murs «en arêtes de Poisson» décoverts
Une surprise de Belle: La Mise à nu des façades un laissé Entrevoir Ce Qu’on Appelle des Murs «en Arêtes de Poisons», Construction Traditionnelle du Xie Siècle et les modillons qui se trouvant les sous les gouttières sont tout d’Un coup mis en valeur. Ce Sont des Petites Figurines sculptés Qui Soutiennent les Corniches, Elles Symbolisent Les Péchés et La Volonté des Gens d’Égliser de «Voir le MAL RESTER à l’Elttérieur».
Les contreforts placés de chaques côté de l’égliser vont ausirsire restaurés. AU DÉPART, IL S’AGISSAIT DE RAJEUNIR LEUR FACE CIMÉÉE (Aspect Béton), Mais des Sondages Demandages Par l’architete dans Le Cadre de Diagnostics Ontré Montré Qu’en Dessous du Ciment Se Trouvaient des Murs soutient en brique Rouge.
Il est dusormais prutôt envisage de faire sauter le ciment pour mettre en valeur ces contreftorses en briques, ce qui donnerait rappel plus de caractère à l’églis. Cela reprisentaTaitt un coût que l’association ne peut Prendre en charge. Le Dossier est Entre Les Mains de Sylvie Feremans, Maire de Cambremer.
De Nombreux Éléments restaurés Depuis 25 Ans
ll ya un quart de siècle, Elle était fermee au public pour des Raisons de Sécurit. Ne Voulant pas Voir cet édifice si cher à leur cœr dépérir d’Anone en Annee, des habitants a-t-il les a choisi en main et, aujourd’hui sa restauration est presque terminée.
Avant de se décrader au fil du Temps, L’édifice AVAIT dujà fait l’Objet de restauration. Ainsi, fils Clocher, Qui était Centraltisé, un été remplaté par un et Clocher-Porche vers 1850. La toiture a auSsi été refaite.
LA restauration, Méné sans relâche, un domaine de préoccupation. Les Autels, Les Tableaux, Les Statues et Sculptures, Les Peintures… Aujourd’hui, 5 Tableaux, Don’t La Plupart Viensent de l’abbaye du Val Richer Détruire en 1791, Ont été Restaurés et Sont Aujourd’hui Inscrits Aute Jésus, L’Annonciation, La Résurrection, et Saint-Joseph.
Des Habits Sacerdotaux (Chasubles, Chapes Du Xixe Siècle) aT été rétrouvés et confits à armelle dalibert, historique d’Arts, coulat seshumidifiés et décrustés de leurs poussières et moissessures.
Concernant La Bâtisse Elle Même, La Sacristie a été refaite de Fond en comble par les membres de l’association, Qui l’Ont videe et remise en éTat du Sol au Plafond. Ces Bénévoles aussi Réalisé un Gros Travail de Maçonnerie en Grattant et réjointant Les Murs Extrerieurs. Pour réaliser les toutes ces opgérations, l’association a dû trouver des financements, ce qui mobiliserait beucoup de temps pour contacter leslus, Mécènes et particules. Des animations aSsi été organisations chaques Année, comme des concerts et des veille.
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