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Quesnoy-sur-Deûle : quand les travaux de l’église seront-ils terminés ?

La fin de la quatrième phase des travaux de rénovation de l’église (clocher, statues et vitraux) qui avait commencé en février 2022, était prévue pour le début de l’année 2023 (11 janvier). Mais certains aléas en ont décidé autrement. La restauration devrait se terminer à la fin du mois d’avril.

Sur la période du 1er janvier 2022 au 11 janvier 2023, vingt-huit jours d’intempéries météo ont été cumulés. Les réalités du chantier, notamment le démontage des parties hautes de l’échafaudage qui devait être signalé à cause de procédures complexes de coupure des antennes téléphoniques, ont encore ralenti l’avancée des travaux.

Une prolongation de délais a donc été établie ; elle est fixée à soixante et onze jours ouvrés, ce qui rapporte la fin de chantier au 21 avril 2023. Le planning prévisionnel s’établit ainsi : février 2023, couverture latérale gauche (côté place) et travail dans le chœur de l’église ; mars 2023, couverture latérale droite ; avril 2023, démontage des échafaudages restants ainsi que de la base de vie, et travaux sur square ; opérations de réception pour fin avril.

En parallèle, le reste des travaux de restauration (Entreprise Chevalier Nord) et de pose des vitraux (Entreprise Brouard), se déroulera pendant les travaux de couverture avec une fin de chantier prévue aussi pour le 21 avril. Petit bonus pointé du doigt par la maire : « Les pendules sont de nouveau à l’heure… et c’est important ! ».

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« Les entreprises vont avoir besoin de jeunes professionnels formés en design immersif dans les années qui arrivent »

Pourquoi êtes-vous spécialisé dans ce domaine ?

Je suis arrivé là par l’architecture. Revenons quelques années en arrière, je voulais faire mes études à Olivier de Serres mais je rate une première fois leur concours. Je tombe alors dans l’architecture en intégrant l’école de Rennes où je ferai finalement tout mon parcours et je passe mon diplôme d’architecte DPLG en 1996. C’est le début de la 3D, je trouve alors que c’est un outil formidable pour permettre à l’architecte de visualiser les projets qui sont dans sa tête mais aussi un incroyable outil de communication. Il ne faut jamais oublier qu’on construit pour l’autre et, la 3D, c’est aussi donner à comprendre aux personnes ce qu’on va faire. Je me suis dit au début des années 2000 que ce serait génial si on pouvait voir sur site le bâtiment comme s’il était là (il faut se remettre en tête qu’à l’époque le GPS n’est pas encore actif par exemple ). Mon objectif était vraiment d’aider chacun à partager et visualiser la réalité de ses projets. On a alors creusé ce sillon pour donner une expérience immédiate aux citoyens.

Cela fait de nombreuses années maintenant que vous êtes établie sur ce marché. Votre entreprise fait même figure de précurseuse. Quel est votre constat sur le terrain auprès des entreprises ?

Je pense que le design immersif XR est une tendance lourde actuelle et à venir. Je vous donne un cas d’usage concret. On travaille beaucoup avec des entreprises industrielles sur des projets de réalité virtuelle autour de la formation. Cela a un triple intérêt pour elles : la sécurité car les apprenants se forment en sécurité dans la réalité virtuelle avec un casque sur la tête, la rentabilité car l’entreprise n’a pas besoin d’arrêter les lignes de production pour faire la formation et enfin, la traçabilité de l’apprenant sur sa formation. Beaucoup d’avantages donc et pourtant, sur le terrain, le constat est sans appel : si les entreprises sont de plus en plus demandeuses de design immersif XR, les interlocuteurs que nous y rencontrons, en revanche, ont rarement pratiqué ces dispositifs et en ont une connaissance plutôt théorique… généralement, nous sommes en contact avec la personne qui s’occupe du marketing et des médias ou des RH, et dans les deux cas, c’est souvent compliqué car il y a de l’interrogation, de la défiance voire même du stress, et donc des difficultés dans la prise de décision et l’accompagnement du projet.

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L’Hermenault. Les enfants découvrent les bâtisseurs d’église

Les scolaires étaient invités pour la visite du chantier de rénovation de l’église, jeudi 2 février 2023, à L’Hermenault (Vendée). Les tailleurs de pierres, maçons, charpentiers, couvreur zingueur, m …

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L’église St-Jean l’Evangéliste va se refaire une beauté à La Valette

En plein cœur de ville, la charmante église Saint-Jean l’Évangéliste, qui était au départ fortifiée et qui affiche encore fièrement aujourd’hui ses vestiges, laisse deviner le passé médiéval de La Valette. L’édifice, dont la construction a démarré au XIe siècle, a ensuite connu plusieurs agrandissements jusqu’au XVIIIe siècle.

À partir de septembre prochain, le lieu de culte, dûment inscrit au titre des monuments historiques pour son chœur et sa porte latine, s’apprête à vivre de nouvelles péripéties puisqu’il va être rénové de fond en comble. « C’est du patrimoine communal, il était donc important qu’on puisse le réhabiliter et le valoriser »confiait vendredi après-midi le maire Thierry Albertini tout en serviteur de guide à l’intérieur du monument, où il était notamment accompagné du père Mariusz, curé de la paroisse, et de Milena Annarolo, l’architecte du patrimoine choisi pour mener le chantier.

« En fait, il y a deux églisescommente le maître d’œuvre, d’origine sicilienne. L’ancienne, médiévale, qui se différencie beaucoup de son extension. Mais le projet supposera évidemment en compte ces identités et on accepta ces différences. »

Les « travaux urgents » en mai

Une réhabilitation du sol au plafond, avec l’installation de belles pierres dans le chœur et de dalles de terre cuite dans la nef pour remplacer les douteux carreaux actuels, en passant par le nettoyage des voûtes et des murs, la restauration des vitraux et des peintures de l’arc triomphal, qui marque la « démarcation » entre les deux époques. Une grosse attention sera également portée sur l’extérieur et le majestueux portail d’entrée, ou encore l’éclairage, essentiel pour la « mise en valeur ».

Au total, entre huit et douze mois seront nécessaires pour redonner ses lettres de noblesse à l’édifice religieux, qui enregistrera dès le mois de mai des « travaux urgents »comme la reprise de l’étanchéité de la toiture et la consolidation de la mezzanine.

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A La Baconnière, les défenseurs du patrimoine se mobilisent devant l’église bientôt détruite

Depuis début février à La Baconnière, en Mayenne, l’église du village est au cœur d’un bras de fer. Lundi 30 janvier, le conseil municipal a voté à l’unanimité la destruction de l’édifice religieux. L’église Saint-Corneille et Saint-Cyprien est fermée depuis 2014 et en 2019, elle a été très endommagée par la tempête Miguel. Une partie de la toiture s’est même effondrée, la mairie a donc décidé de raser l’édifice, devenu trop dangereux. Ce qui ne plaît pas à tout le monde.

En 2019, l’église Saint-Corneille et Saint-Cyprien a été très endommagée par la tempête Miguel.
©Radio France

Julien Prouvoyeur

Une manifestation à eu lieu au pied de l’église. Une soixantaine de personnes étaient réunies mais tout le monde n’est pas venu pour les mêmes raisons. À l’origine de cette mobilisation, Sylvie Chometon, présidente de l’association pour la sauvegarde du patrimoine. : « Je pense qu’on doit trouver une alternative, comment essayer de garder le maximum de traces, de mémoires de cette église, aussi bien dans le bâti que la sauvegarde des objets. » À ses côtés, quelques habitants de La Baconnière, natifs de cette commune située entre Laval et Ernée, attachés à leur église.

L’église est déjà fermée depuis 2014.
©Radio France

Julien Prouvoyeur

Mais rapidement, ils sont rejoints par le jeune et nouveau collectif « Mayenne défend son patrimoine » ainsi que des membres de l’ultra-droite et des sympathisants d’Éric Zemmour. Parmi eux, Sami Fouchard, le porte parole du collectif : « Il faut se poser les bonnes questions : combien on est prêt à mettre pour défendre notre patrimoine ? Est-ce qu’on est prêt à tout raser pour des raisons budgétaires ? Il faut trouver les fonds et il faut aller chercher ce qui nous permettra de sauver nos églises et notre patrimoine. » Le coût d’une rénovation totale du bâtiment se révèle entre six et huit millions d’euros.

Une « contre-manifestation » s’est tenue toujours devant l’église, sur le trottoir d’en face.
©Radio France

Julien Prouvoyeur

Sur le trottoir d’en face, une « contre-manif » s’est constitué, composé de soutiens à l’équipe municipale et de quelques partisans antifascistes. Pour Évelyne, habitante de La Baconnière, il est trop tard pour sauver l’édifice : « Sa restauration ne justifie pas qu’on investisse une telle somme d’argent dans une commune qui est en plein essor, où il y a beaucoup d’autres choses à faire que de mettre tout l’argent dans un bâtiment autant délabré. »

Le conseil municipal a pris sa décision, mais le maire assure être toujours ouvert au dialogue. Une pétition a été reçue
pour s’opposer à cette destruction. Elle recueille plus de 1.050 signatures en moins d’une semaine.

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La construction d’un complexe religieux, en plein cœur d’un parc régional, continue de faire polémique en Ardèche

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En novembre 2022, le préfet de l’Ardèche a autorisé la reprise des travaux d’un complexe religieux à l’intérieur du parc naturel régional des Monts d’Ardèche. Le collectif Les Amis de la Bourges a déposé un recours en justice fin janvier 2023.

Les loutres qui nagent dans la rivière de la Bourges, qui coule sur 20 kilomètres dans les Monts d’Ardèche, vont encore devoir attendre avant de dormir sur leurs deux oreilles. En novembre 2022, la préfecture de l’Ardèche a promulgué un arrêté qui autorise la reprise de la construction d’un complexe religieux sur la commune de Saint-Pierre-de-Colombier. Le collectif Les Amis de la Bourges, opposé au projet, a annoncé à la fin du mois de janvier 2023 qu’il déposait un recours contre cet arrêté. Une nouvelle étape dans le bras de fer judiciaire autour de cette affaire.

L’édification de plusieurs bâtiments, dont une église de 3 500 places, sur un terrain de 1,5 hectare à l’intérieur des limites du parc naturel régional des Monts d’Ardèche fait polémique depuis plusieurs années dans la région. Le projet est porté par la congrégation catholique de la Famille missionnaire de Notre-Dame. Les premiers coups de pelle avaient été donnés en 2019.

Mais en juin 2020, la préfecture de l’Ardèche avait concédé une expertise environnementale aux opposants du projet à la suite de la création d’une Zone à défendre (ZAD) sur le site du chantier. Les détracteurs du projet défendent le fait que plusieurs espèces protégées vivent sur le site et qu’aucune étude environnementale n’a été faite avant l’obtention du permis de construire.

Une étude environnementale a donc été diligentée par la congrégation religieuse suite à l’installation d’une ZAD et les conclusions remises en mai 2022 ont permis la reprise des travaux. Ce que ne digère pas Sylvain Herenguel, membre du collectif Les Amis de la Bourges.

« L’arrêté préfectoral du 29 novembre 2022 autorise les travaux à reprendre en s’appuyant sur une étude environnementale produite par les religieux. Nous, on conteste les conclusions de cette étude. La Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) dit qu’il y a un problème, mais autorise la reprise des travaux »nous confie Sylvain Herenguel.

« La Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement dit qu’il y a un problème, mais autorise la reprise des travaux »

Sylvain Herenguel

Membre du collectif Les Amis de la Bourges

Surtout, le collectif pointe toujours le fait que la congrégation religieuse avait omis de souffrir le fait que l’édifice se situait dans les limites du parc naturel régional lors du dépôt de la demande de permis de construire. La préfecture avait reconnu une erreur administrative sur ce point. « Il se peut qu’il y ait eu un dysfonctionnement dans la procédure. Mais il aurait dû déposer des recours dans les temps », avait nommé l’ancienne préfète Françoise Souliman au site d’informations Reporterre en 2020.

Pour le collectif Les Amis de la Bourges, cette omission n’était pas une erreur administrative, mais un acte volontaire. « Ils ont coché une affaire qui dit que le projet n’est pas dans un parc naturel régional »; accuser Sylvain Herenguel.

Le recours du collectif contre l’arrêté de reprise des travaux n’est en tout pas suspensif, comme nous l’a confirmé le cabinet du préfet de l’Ardèche Thierry Duvimeux, qui ne veut pas s’exprimer sur le fond de l’ affaire à l’heure actuelle.

Sur le terrain, les travaux n’ont en réalité pas repris à partir de l’autorisation promulguée le 29 novembre 2022. Mais Sylvain Herenguel dit avoir vu une mini-pelleteuse à l’œuvre dans un coin du chantier depuis quelques jours. Pour le moment, une passerelle piétonne au-dessus de la rivière et un parking de retournement pour des bus ont été construits sur ce site naturel. L’église et les bâtiments d’accueil n’ont pas encore été édifiés.

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La chorale Kantikoù hon Chapeliou donne vie aux cantiques du pays de Gourin – Gourin

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La chorale Kantikoù hon Chapelioù a donné un concert exceptionnel, dimanche 29 janvier à Gourin, dans une église comble où on a senti vibrer l’âme bretonne.

Après avoir collecté les cantiques chantés à l’occasion des pardons des chapelles de Gourin et des communes environnantes (Roudouallec, Le Saint, Plouray, Langonnet, La Trinité Langonnet), ce groupe de chanteurs et chanteuses s’est constitué, il ya un an , avec des musiciens et une équipe technique pour valoriser ce répertoire.

Un disque et un livret de cantiques

La chorale s’est produite à l’occasion des pardons de certaines chapelles. Puis un disque est sorti ainsi qu’un livret contenant les précieux cantiques. Un premier tirage à permis d’éditer 350 exemplaires. Un second tirage est en cours.

L'église de Gourin était pleine dimanche dernier pour le concert de la chorale Kantikoù hon Chapelioù.
L’église de Gourin était pleine dimanche dernier pour le concert de la chorale Kantikoù hon Chapelioù.

Dimanche après-midi, le concert à l’église a valorisé un travail qui a duré plus d’une année, et a permis de sauvegarder ce patrimoine culturel pour les générations futures. Soutenus par l’orgue, la harpe et la bombarde, les chœurs ont interprété ces chants dont la majorité de l’assistance ne soupçonnait ni la richesse ni la variété.

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Vœux 2023. Les travaux de restauration de l’église vont commencer

En 3 ans de mandature, c’est la première fois que Philippe Lemaitre a pu conserver une bonne année aux Sourdins, après la crise Covid. – Julien Helaine Vendredi 20 janvier, Philippe Lemaitre a pris la …

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À Primelin, un repas de remerciement pour les bénévoles de Saint-Tugen – Primelin



Vendredi 20 janvier, les membres de l’Association de sauvegarde du patrimoine religieux de Primelin (ASPRP), accompagnés de leurs conjoints, se sont réunis à l’Abri Côtier. L’ASPRP offre un repas de remerciement aux bénévoles assurant l’accueil des visiteurs à Saint-Tugen. « Durant la saison estivale, nous nous croisons sans nous voir, cette soirée en sera l’occasion », a souligné le président Jean-Luc Ladan.

7 107 visiteurs en 2022

La dynamique association soufflera ses 40 bougies cette année. Quarante et soutien au patrimoine religieux, notamment la chapelle de Saint-Tugen. Les bénévoles s’y succèdent de juin à septembre, les nouveaux arrivés se joignant au noyau historique. Chacun trouve son lieu : accueil, visites guidées, fleurissement des chapelles. 7 107 visiteurs ont franchi le seuil de la « cathédrale du Cap-Sizun » en 2022. À cela s’ajoutent les visites organisées.

Dans le cadre de la procédure Unesco, la reconnaissance de Saint-Tugen en enclos paroissial a été considérée comme digne d’intérêt par le conseil départemental. Une fierté pour l’association qui a présenté ce dossier. L’autre cheval de bataille de l’ASPRP est le prix en compte et l’amélioration de la visibilité du patrimoine du Cap-Sizun par le Grand site de France et par l’Office du tourisme. Des réunions avec ces organismes sont prévues prochainement.

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L’église de Criel-sur-Mer essuie un lourd refus de subventions pour sa rénovation

L’État et le Département de Seine-Maritime n’ont pas accordé les subventions sollicitées par la commune pour la rénovation de l’église Saint-Aubin. Une aide dont le montant représente 464.000 euros.